BIENVENUE A TOUS !

Grados de Enseñanza
"Je ne peux pas faire régner la Paix sur la terre entière,
Mais je peux faire en sorte que la Paix règne en moi,
Et je peux la partager avec mes enfants, avec mes parents,
Avec les personnes que je côtoie sur mon lieu de travail,
Avec celles que je rencontre, que ce soit par hasard ou non,
Cela est ma POSSIBILITÉ, mon POUVOIR de Construire la Paix sur cette Terre,
Ni plus ni moins...."

Je propose de vous initier au REIKI, technique accessible à tous, visant à maintenir et améliorer la santé.Par santé, j'entends un état de complet bien-être, physique, mental, social, émotionnel, spirituel. Le REIKI offre un soulagement efficace maux physiques, aux troubles du sommeil, aux problèmes de nervosité, de peur ou d'angoisse. Il permet de retrouver une confiance en soi et être bien.

Afin d’être autonome, de pouvoir pratiquer le REIKI pour soi-même ou encore en faire bénéficier les autres, on peut choisir de s’initier à cette technique, durant un stage de week-end.

On ne devient alors pas « guérisseur », mais bien plus conscient des phénomènes qui nous traversent. Je pratique passionnément et enseigne le REIKI, depuis de nombreuses années avec toujours autant d’enthousiasme, et...d’étonnement !


Guy Schwab






4 janvier 2015

LES ATELIERS SUR L'ENERGIE UNIVERSELLE




LES ATELIERS SUR L'ENERGIE QUANTIQUE AURONT LIEU A LA MAISON SAINT-ANDRE A PELTRE

Dans un cadre ou silence, détente et repos sont au rendez-vous.

Pour vous y rendre:
Venant de Nancy A31, sortie Fey/Sarrebruck.
Venant Par A4 : sortie Metz-Est direction Château-Salins
Le programme



Rendez-vous  :  12 heures nous déjeunerons à la maison Saint André afin que nous puissions partager un moment privilégié ensemble.
                                                       13h30             :   début de l'atelier
                                                       16h30             :   fin de l'atelier

Cet  atelier est ouvert à toute personne désireuse d'apprendre à s'aimer !

Inscription et réservation obligatoire.
Téléphone : 06 46 03 30 46
Par mail : guyschwab@gmail.com

 Voici les dates des ateliers du premier semestre 2015


SAMEDI 13 JUIN 201
 
ATELIER DU 22 JANVIER 2015


A la demande des participants, vous trouverez le diaporama du samedi 22 janvier 2015.
SUIVI DES PROPOS RECUEILLIS PAR DANIEL





Nous avions évoqué les mantras et leur rôle et je vous avais donné un excellent mantra que vous connaissez  et en français c'est le Notre Père.


La prière du Notre-Père et l'ouverture des Chakras
Je souhaite que nous nous arrêtions un instant sur l'explication détaillée d'une prière que nous avons pour la plupart tous apprise à l'école.
Il s'agit du "Notre Père".
Il est amusant de constater que bon nombre de gens disent cette prière sans même connaître la signification exacte de chacune des phrases qui la compose... et pourtant, si vous saviez combien elle est puissante.
Savez-vous par exemple que chaque phrase de cette prière est en résonance vibratoire avec l'un de nos chakras et qu'en disant cette prière en toute conscience, vous harmonisez ainsi chacun de vos centres énergétiques (chakras) ?

Alors, étudions là si vous le voulez bien :

Notre père qui
est
aux cieux
entre en résonance vibratoire avec le 7e chakra, celui qui se trouve au sommet de la tête et qui nous met en relation avec le plan Divin - le 7e chakra est en relation avec le "corps Divin" (support de l'Esprit)
Que ton nom soit sanctifiéentre en résonance vibratoire avec le 6e chakra, le chakra frontal, (troisième œil) - le chakra frontal est en relation avec le corps spirituel (support de l'âme)

Que ton règne vienne
et que ta volonté soit faite
entre en résonance vibratoire avec le 5e chakra, le chakra de la gorge, le chakra qui correspond au corps causal (en relation avec notre karma)
Sur la terre comme au cielentre en résonance vibratoire avec le 4 e chakra, le chakra du cœur, qui est le point de jonction entre les énergies Yin qui viennent de la terre et les énergies Yang qui viennent du ciel. Le 4 e chakra correspond à notre corps mental.
Donnes-nous aujourd'hui
notre pain quotidien
entre en résonance vibratoire avec le 1er chakra, le chakra racine (coccyx) qui nous relie à notre Mère la Terre (la mère nourricière)
Pardonnes-nous nos offenses, comme nous pardonnons aussi
à tous ceux qui nous ont offensés
entre en résonance vibratoire avec le 3e chakra, le chakra du plexus solaire qui est en relation avec notre corps astral, le corps de nos émotions
Ne nous laisses pas
succomber aux tentations
J'en profite pour rectifier cette erreur trop souvent prononcée " ne nous soumets pas à la tentation ".. il faudrait savoir si c'est Dieu qui nous tente ou le "diable" telle que nous l'a décrit la religion..
Les tentations... sont en rapport avec le second chakra, le chakra sacré (bas-ventre) en rapport avec la sexualité, la gourmandise, la luxure, etc... Le second chakra est en relation avec notre corps éthérique.
Mais délivres nous du mal
nous voici à nouveau au 4e chakra, le chakra du cœur, siège de l'Amour Universel, centre de la guérison d'où part l'énergie vers les 2 bras et par extension vers les deux mains que l'on "impose" pour la guérison (canalisation de l'énergie)
Car c'est à toi
qu'appartiennent le règne

Eh oui... tous les guérisseurs le savent... ils ne sont que le "canal" de l'énergie Divine.... donc il faut rendre à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu....
Dieu est donc la "cause" de la guérison, et nous sommes justement de retour au 5e chakra, le chakra de la gorge, le chakra en rapport avec le corps causal (karma)

La puissance
retour au 6e chakra, le chakra frontal.

Et la Gloire,
pour les siècles

des siècles.
Amen
retour au 7e chakra point de départ de notre prière.


Essayez de dire cette "prière" avec le "cœur" tout en pensant à chacun des chakras concernés, et vous verrez qu'avec un tout petit peu d'entraînement, vous en ressentirez de grands bienfaits.

VOUS POUVEZ EGALEMENT LE RÉCITER EN LATIN AVEC L'AVANTAGE QUE VOTRE MENTAL EST "DÉBRANCHÉ"

Pater noster, qui es in coelis,
sanctificetur nomen tuum,
adveniat regnum tuum, 
fiat voluntas tua,
sicut in coelo et in terra. 
Panem nostrum quotidianum da nobis hodie, 
et dimitte nobis debita nostra, 
sicut et nos dimittimus debitoribus nostris, 
et ne nos inducas in tentationem, sed libera nos a malo.

Amen


RÉCITEZ DIX FOIS DE SUITE DOUCEMENT EN ATTITUDE MÉDITATIVE !
 

Atelier Reiki du 24 janvier 2015.
Introduction.
Reiki, c’est un terme japonais. « Rei » veut dire énergie universelle. «ki » veut dire énergie personnelle, élan vital que nous avons. Le Reiki c’est un mariage entre l’énergie universelle et l’énergie personnelle, cet élan vital que nous avons tous et qui nous oblige à vivre. Il est important d’être Reiki et de ne pas faire du Reiki. On ne fait pas du Reiki pour obtenir quelque chose mais le Reiki on le fait parce qu’on est quelque chose. On est Reiki, c’est-à-dire on est bien. Le Reiki a pour finalité d’ouvrir les canaux. Ces canaux sont ouverts chez l’enfant jusqu’à l’âge de 6 ans de manière naturelle. Un enfant jusqu’à 6 ans n’a pas peur. La peur n’existe pas. La peur ne fait pas partie de la nature humaine. C’est une invention. Ce sont des croyances qui font croire que nous avons peur. Cette peur va complètement nous inhiber. À partir de l’âge de 6 ans, progressivement le canal se ferme. On peut remarquer, en observant un enfant qui joue (par exemple sur une balustrade en hauteur) qu’il n’arrive rien. En tant qu’adulte (chargé de peur) on se précipite en criant « attention, attention » et il se peut que quelque chose de grave arrive ! Dans ce cas c’est l’adulte qui a induit la peur à l’enfant ou qui la provoque. Nous avons cette faculté à chaque instant de changer notre environnement. Nous sommes très forts à ce jeu. On le fait très souvent inconsciemment. Nous avons des attitudes qui vont provoquer des éléments qui vont faire que nous avons exactement l’image de ce que nous sommes, en face de nous. Par exemple si je suis furieux, je vais trouver plein de choses qui vont être mal ! Il y aura plein de choses qui vont m’arriver parce que c’est moi qui les émets. Il suffit dans ce cas d’arrêter mes mauvaises émissions. Mais comment les arrêter ? C’est ce que l’on va voir à la suite. Le Reiki a cette possibilité, une fois le canal à nouveau ouvert au travers d’une initiation. Une initiation c’est une passation. C’est quelque chose qui fait que vous avez cette énergie puisque nous sommes un corps de chair (appelé corps de singe) et un corps spirituel. Ce dernier va à nouveau pouvoir vivre. Le Reiki va pouvoir redonner la vie à notre être spirituel, ce qui est très important. Très souvent à l’âge de 21 ans, à l’âge de la maturité on fait tout pour détruire cet être spirituel. On ne l’est pas, spirituel ! « Moi je sais ce que je voudrais, je sais ce qui serait bien pour moi, je sais ce qui pourrait m’arriver ! » Cette façon de fonctionner, il va falloir apprendre à la lâcher. Il faudra faire confiance à ce que d’aucuns appellent « l’énergie universelle, la lumière, Dieu... » Et d’autres diront tout simplement je fais confiance « à moi ». Je me fais confiance dans ce que je fais. Et Dieu sait si ce n’est pas facile de se faire confiance. Voilà en quoi consiste le Reiki. Une fois que je suis initié, j’ai autant que la personne qui m’a initié. Je n’ai pas plus et je n’ai pas moins. L’initiation c’est une passation d’un élément, de quelque chose qui est l’énergie de vie. Au premier degré on apprend essentiellement à « se soigner » soi-même, bien qu’on ne soit pas malade ; autrement dit à retrouver cet amour personnel à l’intérieur de soi. On peut aussi appliquer le Reiki aux autres une fois que l’on déborde d’amour. Pour aider les autres, il faut déjà être bien soi-même. On peut appliquer le Reiki aux animaux, aux plantes, à notre nourriture, à toutes nos actions… Si je suis dans le jugement ou dans l’attente, le Reiki ne fonctionne pas. Si je ne suis pas en amour avec moi-même les choses ne pourront effectivement pas se régler. Le Reiki c’est un acte d’amour de soi.
Nous allons parler d’énergie quantique. Pourquoi l’énergie quantique ? Si nous arrivons utiliser l’énergie quantique à notre profit, nous pouvons littéralement « décoller ».
Le 2e degré consiste à utiliser des symboles permet d’aller au-delà du temps et de l’espace. Le temps et l’espace n’existent pas ! Ils sont une vue de l’esprit. Si dans ma tête j’ai quelque chose qui me casse les pieds parce que je veux absolument que les choses se passent comme je l’ai décidé, la chose va se mettre à exister car je suis dans l’obsession. Je vais matérialiser cette chose. Si je veux démontrer que je suis mal il n’y a aucun problème. Il y a plein de choses qui vont m’arriver et qui vont me dire que j’ai raison d’être mal ! Paradoxalement qui se ressemble s’assemble. Mais les contraires s’attirent !
Les préceptes de Mikao USUI .
Juste aujourd’hui, juste aujourd’hui, je ne me mets pas en colère. Juste aujourd’hui, juste aujourd’hui, je ne me fais pas de soucis. Les soucis ont toujours pour origine la colère. Juste aujourd’hui, juste aujourd’hui, je suis reconnaissant. Je suis reconnaissant de ce que j’ai fait, reconnaissant de ce que j’ai, reconnaissant de ma vie. Je suis déjà reconnaissant de ce que j’ai avant de vouloir autre chose. Aujourd’hui, juste aujourd’hui, je travaille honnêtement. Je travaille honnêtement sur moi et j’arrête de me raconter des histoires, de me mentir, de me faire croire que mes vessies sont des lanternes. Car tout cela m’arrange. Aujourd’hui et seulement aujourd’hui, je suis aimable avec les autres et envers moi-même. Si je manque d’amour pour moi, je vais essayer de combler ce manque par l’amour de l’autre, par la reconnaissance de l’autre. Dans ce cas, je deviens un escroc, un arnaqueur car je vais essayer d’avoir la joie, le bonheur grâce à l’autre. Et quand l’autre arrête de me donner car il veut souffler un peu, alors je vais commencer à râler.
Méditation.
Méditer, ce n’est pas planer à 2 m du sol. Méditer, c’est faire attention à ce qui se passe autour de moi, à l’intérieur de moi. Il y a une méditation qui fonctionne très bien et qui est très simple, c’est ce qu’on appelle l’ancrage. L’ancrage est un processus qui nous permet rapidement d’être dans cette méditation et de bien se centrer par rapport à soi-même. Comment fait-on l’ancrage ? Dans un premier temps, on se met assis avec les pieds bien à plat sur le sol. Lorsque c’est possible, on quitte ses chaussures. On place les mains sur les cuisses. On met le dos le plus droit possible. Le moment idéal pour pratiquer l’ancrage c’est au saut du lit. On inspire par le nez en sentant bien l’air qui pénètre dans son corps et on expire plus longuement par la bouche. Petite remarque : lorsque j’inspire je ne peux rien faire, je ne peux pas agir. Donc, je fais toujours les choses en expirant. Par exemple, lorsque je parle, je ne peux le faire qu’en expirant. C’est le seul contrôle que je puisse exercer un moment sur le fonctionnement de mon corps, sur mon cerveau.
Musique. Vous vous laissez guider. Si des pensées arrivent vous accepter ses pensées. Vous vous fixez alors sur votre inspiration et sur votre expiration. En inspirant vous avez cette sensation qu’une énergie rentre dans votre corps par le sommet de votre tête et va jusqu’au cœur. Votre cœur est semblable à un calice qui se remplit d’énergie. En expirant par la bouche longuement, vous laissez partir cette énergie de votre cœur. Elle circule dans vos bras, passe par vos mains et vos cuisses. Elle descend le long de vos jambes et passe par vos pieds qui prennent racine… Vous faites fonctionner votre imagination et vous donnez une couleur à cette énergie qui pénètre dans votre corps par le sommet du crâne… Juste aujourd’hui, juste aujourd’hui, c’est une invitation à vivre le moment présent, à oser faire, dire, exprimer à chaque instant votre rôle d’acteur dans votre vie. Juste aujourd’hui c’est être dans l’ici et maintenant et abandonner les incessants va-et-vient du passé au futur. C’est abandonner les exaltations qui sont sources de souffrance et d’angoisse. La spécificité de l’être humain n’est pas seulement de réagir mais essentiellement d’agir. Alors osons agir. Juste aujourd’hui, aujourd’hui seulement je ne me mets pas en colère. Nos colères sont liées à des pensées qui induisent des croyances. Notre colère est une réaction de peur que nous n’arrivons pas à gérer. Les peurs engendrent des angoisses : la façon dont les autres me perçoivent, comment plaire ou déplaire à l’autre. La peur n’est qu’un ensemble de vexations que nous subissons quotidiennement. Travailler sur nos peurs, en réalité c’est arriver à se détacher, se détacher de tout ce qui nous fait souffrir, de tout ce qui n’est pas bien pour nous. Juste aujourd’hui, aujourd’hui seulement je ne me fais pas de soucis. Les soucis entraînent des peurs des inquiétudes, des angoisses, des anxiétés qui hypothèquent la confiance en nous, en notre avenir puisque nous avons toujours peur de demain. De ce fait, nous nous isolons du monde. Des croyances renforcent notre vanité et nous plongent dans la rumination. L’énergie universelle régit toutes choses. Si nous en faisons la demande, cette énergie peut nous guider. Notre intuition au fil des jours va s’aiguiser et j’arriverai à faire confiance en la vie. Aujourd’hui, juste aujourd’hui, je suis reconnaissant ; je suis reconnaissant envers ce que j’ai fait, je suis reconnaissant envers mon environnement, je suis reconnaissant envers moi-même et envers les autres. La gratitude, la reconnaissance, l’estime de soi et des autres, voilà ce qui nous manque fréquemment. Avoir cette reconnaissance tout simplement d’être en vie, remercier pour tout ce qui nous entoure, remercier pour tout ce que nous avons déjà fait ou réalisé, remercier pour tout ce que l’on a déjà acquis. Développer ses capacités d’aimer, c’est reconnaître la présence grandiose de cette énergie universelle appelée « vie », la paix et l’harmonie dans notre vie et avec tout ce qui nous entoure. Aujourd’hui et seulement aujourd’hui, je travaille honnêtement. Je travaille honnêtement sur moi-même et je reste sur le chemin de la transformation. Je m’adapte aux situations, je reste inventif, créatif à chaque instant. À chaque instant je demeure « enseignable » et curieux de toutes choses. Tous les jours je fais de mon mieux. C’est le meilleur moyen pour accéder à l’amour de soi et puiser L’amour que je peux donner aux autres. Aujourd’hui, juste aujourd’hui, je suis aimable envers les autres et envers tout ce qui vit. Pour respecter les autres je dois commencer par me respecter moi-même car tout est « un » et je suis lié aux uns et aux autres. En dévalorisant les situations, les événements, les personnes, c’est moi-même que je dévalorise. Si je me dévalorise, je me coupe irrémédiablement de cette énergie de vie. Ce que je fais à moi-même se reflète sur les autres. Je suis capable de faire des choix en accord avec mes véritables besoins, c’est alors que je laisse entrer l’amour, la joie de vivre et le bonheur dans ma vie. Juste aujourd’hui, aujourd’hui seulement. (Inspiration profonde et expiration profonde et revenir dans le maintenant en ouvrant lentement les yeux). Quand nous sommes quelque part ou en contact avec quelqu’un il faut prendre l’habitude de se « nettoyer ». C’est comparable au fait de se laver les mains avant et après un repas. Donc, après avoir été en contact avec quelqu’un, il est conseillé de se « laver » au moyen du « KENYOKU ». Il s’agit d’un nettoyage à sec.
LE KENYOKU (Atelier Reiki du 25 octobre 2014)
Cette technique renforce la structure énergétique de celui qui la pratique.
Elle peut être utilisée avant de donner une séance de Reiki afin de préparer notre canal énergétique, et/ou pour clore celle-ci afin de mieux se déconnecter des énergies du receveur et se recentrer sur soi.
Il est aussi possible de l'utiliser à n'importe quel moment afin de se défaire d'une énergie disharmonieuse ou de se recentrer après une émotion perturbatrice ou une idée fixe perturbante.
 
  • Pratiquer le Gassho quelques secondes, mains jointes sur la poitrine.
  • Placer sa main droite dans le creux de l'épaule gauche puis descendre la main en diagonale jusqu'à la hanche droite en passant par le sternum.
  • Placer la main gauche dans le creux de l'épaule droite puis descendre la main en diagonale jusqu'à la hanche gauche en passant par le sternum.
  • Recommencer encore une fois avec la main droite.
  • Placer sa main droite sur l'épaule gauche puis descendre la main en suivant de la paume l'intérieur du bras gauche.
  • Placer sa main gauche sur l'épaule droite puis descendre la main en suivant de la paume l'intérieur du bras droit.
  • Recommencer encore une fois sur le bras gauche avec la main droite.
  • Terminer en pratiquant le Gassho quelques secondes.
 
Toujours avoir à l’esprit, lorsque l’on fait un KOTODAMAS, un GASHO, un KENYOKU, il faut le réaliser avec « l’intention » ; le Reiki ne doit pas devenir un dogme !
Une fois le KENYOKU terminé, se frotter les mains et se dire « c’est fait, je n’y reviens plus ».
Remarque : il ne faut pas hésiter à abuser du KENYOKU dès que l’on en ressent le besoin, dès que l’on rencontre des personnes qui nous « jettent un sort » parce qu’elles sont mal ; et Dieu sait si je rencontre de nombreuses personnes dans ce cas. Donc, pour éviter d’aller à la pêche de tout ce qui me rend mal, je procède régulièrement à des nettoyages à sec.
Les KOTODAMAS.
KOTODAMAS ou KODODAMAS. (Atelier Reiki du 25 octobre 2014)
Ce sont des sons sacrés. Ce serait l’empereur Meiji, contemporain
 de Mikao USUI, qui les aurait découvert. Dans toutes les anciennes populations, il y avait des sons (les bols tibétains, les cloches). Principe qui a été repris par le christianisme avec les cloches dans les églises. Il y a aussi des sons qui peuvent être produits par le corps humain. On dit que les KOTODAMAS ont plus de 50 000 ans. Ce sont des paroles sacrées. Ce sont des paroles sacrées, des mots sacrés, des sons sacrés ou spirituels. Lorsqu’ils sont prononcés ou chantés, ces sont sacrés créent des vibrations à l’intérieur du corps. « KOTODAMAS sont des sons sacrés ou des sons purs ou des sons spirituels ». Dans les KOTODAMAS, nous acceptons que les voyelles sont « mère » et que les consonnes sont « père » dans la façon d’exprimer les choses. Le « père » c’est la pensée, la « mère » c’est la terre. C’est l’idée de la fécondation de la pensée sur l’esprit. En prononçant les KOTODAMAS, faire en sorte que ces sons restent au milieu de la langue, comme si l’on a une boule à l’intérieur de la bouche. Imaginer une sphère qui flotte au niveau vibration juste au-dessus de la langue. Ce qui permet de ressentir la vibration dans la tête et ainsi dans tout le corps. En général, les résultats sont assez spectaculaires. Cette pratique permet instantanément d’être dans « l’ici et maintenant ». Je sais que le son est bien prononcé si je ressens la vibration dans la tête. Lorsque cette vibration s’étend ensuite sur l’ensemble du corps, alors je me sens bien (métaphore des 2 cordes de guitare : une corde qui vibre va faire vibrer une autre corde à proximité à la même fréquence). De la même manière, les vibrations de notre voix vont se communiquer à nos vibrations intérieures. Respecter les KOTODAMAS ne veut pas dire les réciter les uns après les autres. Il suffit d’en choisir un. Le but est d’arriver à être bien en le prononçant. Il n’y en a pas un qui est mieux que les autres ! Lors de leur prononciation, il faut bien prendre le temps de respirer sans précipitation. Ils se disent sur un ton.
Avant de faire un KOTODAMAS, il faut procéder à un nettoyage à sec (ou à l’eau) : cela signifie faire un KENYOKU.
Après le nettoyage, se mettre en Gasshô. Pratiquer une respiration ventrale. À l’inspiration, on gonfle le ventre et à l’expiration on fait le contraire. Imaginer que l’on prend toute cette énergie disponible en ayant le corps bien droit et souffler légèrement au-dessus de ses mains jointes. Je me place dans l’ici et maintenant, en me fixant sur ma respiration, la position de mes mains et les zones de contact de mes doigts. Ensuite je prononce un KOTODAMAS.
1) HO A ZE HO NE (ho a zé ho né). Je le prononce seulement lors de chaque expiration. Après un moment, je prononce mon KOTODAMAS de manière mentale en respectant toujours la respiration ventrale. Au début, commencer par la prononciation mentale, et ensuite lorsque l’on est dans le ressenti passer à la prononciation vocale. Le KOTODAMAS sert à se mettre dans l’ici et maintenant de manière rapide et radicale. Avec de la pratique, je peux réciter mes KOTODAMAS de manière mentale, même dans des endroits bruyants et fréquentés (voiture, bus, métro, réunion,…).
2) EI EI KI ( eil   eil   gui )
3) HO KU EI ( ho  kou  eil ).
 
L’énergie quantique.
L’être humain est composé de 2 éléments. D’une part d’un corps physique, baptisé par Guy : « corps de singe ». Ce corps physique c’est celui que l’on voit, que l’on sent. D’autre part l’être humain possède un corps immatériel que l’on peut appeler « âme, conscience, corps énergétique ». Chacun, en fonction de sa foi et non de sa croyance, va choisir le mot qui lui convient. L’immatériel c’est la conscience, le corps énergétique. Nous avons tendance à croire que ce que l’on ne voit pas n’existe pas. Et pourtant ça existe. C’est ce que l’on appelle le QUANTUM. Avant les scientifiques avançaient l’idée que la plus petite particule de matière était l’électron. L’électron est une particule électrique de charge négative qui gravite autour du noyau atomique lui-même composé de protons, particules électriques de charge positive et de neutrons qui sont des particules neutres électriquement. Mais Einstein avait démontré mathématiquement que le quantum est 100 millions de fois plus petit qu’un atome ! Depuis on a trouvé que l’on avait la pensée. La pensée est comparable à la lumière. La lumière est composée de photons. Ces photons sont des petites particules « sans masse ». Cette quasi absence de masse leurs permet de voyager à plus de 333 000 km/s. À la différence près, la pensée circule à la vitesse de 888 000 km/s (vitesse variable selon la catégorie de pensée : pensées positives et pensées négatives). La pensée n’est pas composée de photons mais de « bio photons » ce qui lui permet d’atteindre une célérité exceptionnelle ! Nous avons du mal à imaginer que la pensée puisse voyager aussi rapidement. Et pourtant nous ne doutons pas du fonctionnement d’un téléphone portable ! Un téléphone portable est un pâle reflet de la manière dont fonctionne notre cerveau.
Jusqu’au XXe siècle, au niveau des inventions, nous n’avons fait que copier la nature, c’est-à-dire au niveau du matériel. Nous avons construit des avions qui ressemblent à des oiseaux, nous avons mis au point des sous-marins qui ressemblent aux poissons… Depuis la fin du XXe et le début du XXIe siècle, on constitue des choses qui ne se voient pas, notamment des puces électroniques qui vont équiper les ordinateurs et les téléphones portables. Toute cette technologie n’est possible parce qu’en amont les scientifiques ont réalisé des calculs infinitésimaux et de ce fait les puces sont devenues de plus en plus performantes. Il est vrai que tout ce qui est immatériel, tout ce que je ne vois pas, j’ai tendance à ne pas y croire. Ce qui est intéressant de constater c’est que l’énergie quantique est une chose existante. Les pensées fonctionnent c’est-à-dire vont, se déplacent. Mon cerveau est un émetteur-récepteur. La preuve en est que si je me dis je vais être malade, sans aucun doute je peux le devenir, car d’une certaine manière je suis en train d’appeler ce message, cette information. Il est évident que la maladie va arriver en 4e vitesse. Nous avons cette capacité énergétique d’appeler les choses. Le corps n’existe pas, ce n’est rien. Il existe parce que je le regarde. Si je ne le regarde pas, il n’existe pas. La preuve en est : si vous êtes amoureux, passionné, vous faites des tas de choses sans avoir peur du ridicule.
« Connais-toi toi-même et tu connaîtras l’univers des dieux. » Socrate. Autrement dit, il faut apprendre à se connaître, savoir comment l’on fonctionne. Le Reiki a justement cette propriété d’arriver faire en sorte que j’arrive à me connaître, que j’arrive à savoir comment je fonctionne et pourquoi je fonctionne de telle manière. En réalité, nous baignons dans un monde d’énergie. Le vide n’existe pas. Le vide est une vue de l’esprit. En réalité, ce monde d’énergie c’est de l’énergie quantique. Pour exemple, le rassemblement de millions de Français dans la rue suite aux événements de Charlie hebdo. Pour une fois, on n’était pas contre quelqu’un. Tout le monde était libre. « Nous sommes libres ». Il y avait un égrégore phénoménal sur la France entière. C’était une réunion nationale où les nombreux cortèges se sont déroulés sans incident. Le fait de ne pas se battre contre quelque chose et d’être libre ont fait que tout s’est bien passé. Nous sommes tous liés les uns aux autres par l’énergie quantique. Si nous étions tous « bien », tout irait bien et nous n’aurions même plus besoin de notre corps physique c’est-à-dire de notre corps de singe. La vie n’est pas un combat. Il n’est pas nécessaire de se battre pour obtenir quelque chose. Il faut « être » et arriver à « être en action ». Nous sommes en réalité très matérialiste et pensons que ce que nous ne voyons pas n’existe pas ; ce qui est faux (exemple de la scène extraite du film « Lucy » de Luc Besson dans laquelle une voiture passant à une vitesse de plus en plus élevée va disparaître de notre champ de vision laissant à notre œil l’impression qu’il n’y a qu’un paysage). Les choses n’existent que si on les regarde. Si on ne les regarde pas, elles n’existent pas. C’est une vision de l’esprit. Les uns et les autres nous somment liés. Nous avons un lien avec toutes les personnes que nous rencontrons ou que nous avons rencontrées de par le passé. Nous créons en permanence un réseau énergétique avec tout le monde que nous connaissons ou que nous avons connu. C’est pourquoi, on aime se retrouver en groupe car il y a un lien qui unit les membres du groupe (cf. atelier Reiki, clubs de sport,…). Il est important d’avoir conscience que cette énergie existe véritablement et que nous sommes liés les uns aux autres. La réussite n’est pas un combat. La réussite est « une connexion énergétique ». Si j’essaye de forcer les choses je vais obligatoirement disjoncter. Je n’aurais pas ce que je veux. Ça ne se passera pas comme je le veux. Par contre si je suis au niveau énergétique, si je suis une connexion énergétique, alors tout est possible. L’énergie quantique forme l’essence de l’univers reliant toutes choses. La théorie d’Albert Einstein disait « Dieu est un égoïste ». Dieu est énergie. Au début il était seul. En tant qu’énergie pour pouvoir survivre, il fallait qu’il crée « l’autre », qu’il lui apporte l’énergie et l’expérience. En réalité ce que l’humanité a fait jusqu’à présent n’est qu’une somme d’expériences au profit de Dieu. Dieu c’est le Mystère. Dieu c’est l’Energie et non pas un « gentil homme barbu ». Ce qui explique la constitution du monde. Dans notre petite tête, il nous faut un cadre, un bocal. Et on est encore en train de se questionner pour savoir ce qu’il y a derrière le bocal. Et comme on est bloqué, notre réflexion s’arrête très vite aussi ! Si je pense énergie, le Reiki nous permet de canaliser « l’énergie universelle, l’énergie de vie ». Mais à côté de cette énergie de vie, il y a plein d’énergies négatives dont nous sommes les producteurs. Actuellement, il y a beaucoup d’agitations à travers le monde. Tout bouge ! Tremblements de terre, conflits, catastrophes météorologiques, crise, flots d’informations de par les médias,... Mais pourquoi ? Parce que tout est énergie, tout est récupéré par un certain nombre de personnes qui veulent détruire ! Il y a 2 finalités possibles. Soit on fait «  sauter » ce monde et nous partirons tous sous forme d’énergie, soit il y aura « 100 000 Justes » et nous n’aurons plus besoin de notre corps d’après les textes et nous serons parmi Dieu. Tout cela pour dire que si vous « êtes bien » dans une famille, dans un couple, dans une société on ne s’en fait pas, il n’y a pas de jalousie et tout est bien. Ce serait l’idéal mais c’est utopique dans notre monde. Si l’on vit réellement dans la bienveillance, on vivra dans l’opulence ; il y a assez pour tout le monde dans l’univers ! L’univers n’a pas de limite dans sa générosité, encore faut-il lui demander de manière bienveillante c’est-à-dire sans savoir quand, ni combien, ni comment !
L’énergie quantique forme l’essence de l’univers, c’est ce qui nous relie tous, c’est ce qui nous permet de vivre ; c’est le brin d’herbe qui va pousser sur l’autoroute qui est pourtant un milieu hostile. C’est cette énergie là, cette énergie de vie qu’il va falloir essayer de prendre. À côté, vous avez cette autre énergie, qu’on ne peut pas appeler « énergie négative » car elle n’existe pas, mais qui va être destructrice, mais là c’est nous qui choisissons dans notre système de fonctionnement. Le Reiki a cet avantage de pouvoir être bien avec soi-même. Quelqu’un qui est bien avec lui-même, rien de grave ne lui arrive. Par contre, celui qui est mal avec lui-même fait la collection d’événements fâcheux. On peut dire que l’énergie quantique est à l’origine de tout ce qui existe ou qui existera un jour, parce que le temps n’est qu’une vision de l’esprit. Le temps n’existe pas. Pourquoi les gens, en permanence, vont de mal être en mal être, de malheur en malheur ? Tout simplement, ils sont créateurs de ce qui leur arrive. On est créateur de notre vie. Si on veut être mal, il n’y a pas de problème, on va être mal. « Je savais, que ça allait arriver… ». Bien sûr que c’est arrivé, car je voulais que ça arrive ! Mon passé va se mettre dans mon futur. Dans mon futur je serai comme j’étais dans mon passé, puisque c’est la même chose : passé = futur. Je suis le créateur de mon passé et de mon futur. Mon passé devient mon futur. Et dans ce cas, le présent n’existe pas. Le présent est une vue de l’esprit. Dès que je suis dans le présent ici, c’est déjà dans le passé. Le futur qui arrive dans le présent est déjà parti dans le passé qui lui-même revient dans le futur. Et ainsi de suite. C’est une histoire à se faire des nœuds dans le cerveau ! Le temps n’existe pas, c’est une vue de l’esprit. Un objet, un mal-être, une maladie (mal a dit !) n’existent que si je les regarde. Si je ne les regarde pas, ils n’existent pas. Si j’ai un cancer et que je n’accepte pas qu’il fait partie de moi, je risque fort de subir ce cancer et de souffrir.
Cette énergie qui nous englobe tous, on peut la sentir grâce aux Reiki. On apprend à faire connaissance avec elle, a presque la voir. Quand on « est Reiki », on peut ressentir lorsqu’une personne est mal ou bien, certains pourront pratiquement voir les champs énergétiques qui entourent les autres. Une personne qui est «  mal » a une façon de provoquer les énergies et d’appeler au secours. En général elle va appeler une autre personne qui est aussi mal qu’elle ! À l’origine de tout ce qui existe ou qui existera un jour, c’est l’alpha et l’oméga. En d’autres termes, l’alpha c’est le début et l’oméga c’est la fin. Nous sommes en permanence, transpercés, traversés par des champs d’énergie qui circulent dans l’univers comme les ondes des téléphones portables qui traversent tout même les murs les plus épais ! Ces champs d’énergie peuvent être des ondes radiophoniques, téléphoniques ou tout simplement des pensées (positives ou négatives) émises par tous les cerveaux des personnes qui vivent sur Terre. Si je parle par exemple de quelqu’un qui est mal, cette personne risque d’être encore plus mal car j’envoie à travers l’univers des pensées négatives vers cette personne ; par ce fait j’alimente encore plus son mal-être. Une évidence, si je suis en colère, cette colère va me revenir. Si je suis bonté, bonheur, cela va me revenir aussi. Je produis une énergie qui me revient en permanence. D’où l’intérêt de produire une « bonne énergie ». Si j’arrive à être Reiki, je deviens « une fontaine à chocolat » (termes propres à Guy) ! Je vais être bien et les gens qui m’entourent vont venir se nourrir auprès de moi. Je risque fort d’amener à moi de bonnes affaires dont je ne peux pas estimer la portée! Il est important aussi de répondre à des questions que l’on nous pose. En général nous avons la fâcheuse tendance de répondre à des questions qui ne sont pas posées par l’autre ; cela entraîne alors des conflits entre les deux interlocuteurs. J’essaye de ne pas être surpris par les questions que l’on me pose car inconsciemment j’ai déjà la réponse sinon mon interlocuteur ne s’adresserait pas à moi. Si je pratique le Reiki, j’ai mon intuition qui se développe. L’intuition ce n’est pas un choix, c’est une action : je fais naturellement, sans calcul, sans savoir pourquoi je le fais.
En réalité, je me vois comme j’ai envie de me voir. Si je veux me voir comme un imbécile alors je vais avoir une attitude d’imbécile, et les autres vont bien sûr me le confirmer. Si je veux me voir intéressant, alors je vais avoir une attitude intéressante. Si je veux me montrer très fort alors je vais adopter une attitude pour le faire savoir mais cela va me coûter beaucoup en énergie. Je vais trouver des personnes qui vont me ressembler. On va être un groupe dont les individus veulent se montrer intéressants. Mais on ne va rien faire d’intéressant. Simplement, parce qu’on se voit « intéressant ».
Le cerveau.
Il faut arriver à accepter que le cerveau sert à une seule chose : s’occuper du corps, c’est tout. Le cerveau ne sert qu’à ça. Le cerveau sert à construire (le bébé), à surveiller, à contrôler, à réparer le corps et à améliorer les fonctionnalités dans la vie de tous les jours (apprentissage d’une nouvelle discipline, d’un nouveau geste…). Le cerveau est en contact avec de nombreux stimuli (le nez, les yeux, les oreilles, la langue, la peau) toute la journée. Il reçoit de nombreuses informations et il en fait le tri. Il est sélectif dans ce qu’il fait. Durant la journée, il y a une destruction physique : destruction musculaire, production de déchets… La nuit est censée réparer. Mon corps, mon navire, va donner un certain nombre d’informations sur son fonctionnement ou dysfonctionnement à mon cerveau. « Cette manière de faire ne me convient pas, car elle me fatigue beaucoup ! ». Mais le cerveau n’écoute pas. Le corps lui fait part aussi de ses « bobos » et de ses maladies (mal a dit). Mais le cerveau n’écoute pas. Bien sûr, le cerveau reptilien va me faire retirer la main d’une flamme pour éviter la brûlure, mais le cerveau « conscient », lui a du mal à écouter le corps. Qu’est-ce qui bloque cette communication entre le corps et le cerveau « conscient », c’est le mental ! Toute la journée mon cerveau va être en surcharge d’informations parce que mon mental va poser des tas de questions. « Comment puis-je faire ceci ? Comment puis-je faire cela ? Pourquoi ceci ? Pourquoi cela ? Comment se fait-il… ?… ». Le cerveau n’a pas de réponse à toutes ces questions. On peut comparer le cerveau à une personne qui joue aux échecs mais qui ne sait pas jouer aux échecs. Ce débutant joue contre un maître aux échecs. Le maître sacrifie sa dame qui est une pièce maîtresse. Le néophyte se précipite sur la dame en croyant bien faire mais il se retrouve échec et mat. Il s’est laissé avoir par la stratégie du Maître. Notre cerveau est comparable à ce débutant : il n’a aucune stratégie. Le cerveau va toujours m’apporter une solution de satisfaction immédiate sans pour autant en mesurer les conséquences. Le cerveau ne sait pas faire des plans. Il se laisse diriger par le mental. Le mental est toujours en train de me casser. Le mental c’est Satan. Satan c’est « l’adversaire ». Donc, mon adversaire c’est moi-même, c’est mon ego. Mon mental est accroché en permanence à mon ego. « Moi, il faut que je fasse, il faut que j’arrive, moi je vais faire, moins je sais comment faire pour être bien… ». Ca, c’est le mental qui parle ! Ce mental est épouvantable, car j’ai l’impression que le corps ne fait pas partie de moi. Le mental dénie le corps. Même si le corps va mal, le mental s’en moque. Mais on oublie que le cerveau est un émetteur-récepteur. Il est en surchauffe quand le mental est aussi fort. Le mental va faire un barrage entre le corps et le cerveau. Si j’ai mal quelque part ou si j’ai une maladie, je me dis que je ne veux pas la maladie. Ça ne fait pas partie de moi et j’ai autre chose à faire, « je travaille, moi ! ». Mais, la maladie (mal a dit) nous raconte quelque chose. Si je ne dis pas à mon cerveau : « Ecoute, il y a un dysfonctionnement là. Il faudrait peut-être changer ton programme. Au lieu de m’envoyer fumer tout le temps quand je suis mal, il faudrait peut-être trouver autre chose. Quoi ? Je n’en sais rien ! ». Il faut trouver une façon de changer mon système de fonctionnement de communication. Qui peut faire ça ? Ce n’est certainement pas le mental, mais c’est cet être spirituel que je suis, qui est autour de moi, en moi et qui est cette énergie dans laquelle j’existe. En d’autres termes, j’essaye d’accepter « le mal » qui est en moi et j’envoie de « l’amour ». C’est fait ! Je n’y reviens plus car j’ai foi en moi. Amour vient de  Amoros. « moros » veut dire « la mort de l’esprit ».L’ « Amoros » signifie la non mort de l’esprit. Quand je suis « moros », je suis dans la morosité, je suis «  mal » car je ne me donne pas d’énergie. Alors, je vais chercher de l’énergie chez l’autre. Mais l’autre, comme je suis mal, ne va pas me donner de l’énergie. En me rejetant, l’autre me donne de l’énergie, mais peut-être pas la bonne car je deviens colère ; en effet l’autre ne m’a pas donné ce que j’attendais. La pire des choses c’est de ne pas être reconnu. Chacun veut être reconnu. Chacun veut exister. Mais posons-nous la question : « Mais si moi je n’ai pas besoin d’exister parce que je suis bien avec moi-même ? Et si moi je n’en ai rien à faire que vous m’aimiez ou non ; ce n’est pas mon problème ça, c’est le vôtre ». Je suis bien dans ce que je fais et dans ce que je dis. Dans ce cas il n’y a pas de soucis. Et pour ce faire, il faut que je calme mon mental qui m’assaille de questions pour savoir si j’existe aux yeux des autres (Est-ce que tu vas être assez performant ? Que vont penser les autres ? Est-ce que tu présentes bien ? Est-ce que tu vas pouvoir convaincre les gens ?…). Quand je réagis ainsi, je suis producteur dans mon cerveau d’une émission négative et alors tout va me tomber dessus. Dans une profession, quelle qu’elle soit, si vous êtes seulement motivés par la performance (et la méthode) et si vous n’avez pas un côté spirituel, une part de spiritualité, il y a de grandes chances que vous n’ayez pas de résultats. De plus, après une journée de travail, vous n’en pourrez plus. Ne parlons pas de ce qui s’accumule après toute une carrière ! Cette part de spiritualité existe en chacun de nous. L’initiation Reiki a cette facilité de vous ouvrir à cette forme de spiritualité, à une pensée vers vous-même. S’il faut que je m’aime au travers de l’autre, alors cela devient un pugilat, parce que l’autre ne m’apportera jamais ce que je veux. L’autre ne sait pas. Et bien sûr j’aurais toujours plein de messagers qui m’arriveront et qui me confirmeront que j’ai raison d’être mal : « Dans ce genre de situation c’est toujours la même chose, tu sais les hommes sont tous les mêmes, c’est dur d’avoir un ami en qui avoir confiance,… ». Être Reiki, c’est prendre conscience de l’énergie quantique. C’est prendre conscience qu’autour de nous il y a énormément d’énergie. Nous baignons tous en permanence dans cette énergie. Être Reiki, c’est avant toute chose changer notre niveau de conscience. Alors qu’est-ce que la conscience ? La conscience c’est une somme de croyances, d’acceptations conscientes ou inconscientes. Dans le système de fonctionnement du cerveau (voir ci-dessus) on peut remarquer que la plupart du temps nous fonctionnons comme des enfants par rapport à nos parents. Le schéma (le logiciel) qui a été constitué entre 6 ans et 9 ans, c’est sur lui que nous fonctionnons. Ce logiciel est fait sur la base d’une période où l’enfant devient le parent des parents. Dans ce cas, l’enfant est obligé de faire des choses pour lesquelles il n’a aucune envie (exemple de l’enfant qui est obligé de jouer très silencieusement dans sa petite chambre la journée parce que papa dort et qu’il a travaillé la nuit ; il ne faut pas décevoir maman !). Il existe un lien énergétique très puissant entre la mère et l’enfant, qui demeure même après le décès de la mère ! Tout cela est énergétique. C’est le mystère de la vie.
Ce n’est pas le mental qui va nous faire avancer. C’est notre être supérieur qui va nous grandir, ce que nous sommes en réalité. Mon libre arbitre c’est celui qui me permet d’ordonner mes pensées, c’est ma conscience. Lorsque je suis curieux, lorsque je m’adapte, lorsque je suis inventif c’est mon être supérieur qui se manifeste. Je suis moi-même alors. Cette énergie universelle est à ma disposition, encore faut-il que je trouve le bon canal. C’est un peu comme choisir une station radio qui répond à mes attentes. Si une station radio ne me plaît pas, rien ne m’empêche d’en chercher une qui correspond à mes goûts. C’est comparable à l’attitude que l’on a face à un enfant qui est malade. On essaye par tous les moyens de le distraire avec d’autres occupations pour l’écarter de sa maladie. Pourquoi ne pas essayer cette pratique de distraction avec nous-mêmes ? C’est un peu ce que l’on fait dans certains services de cancérologie, on essaie d’exprimer les choses de manière différente. Le but final est de changer notre niveau de conscience, c’est aussi accepter que nous pouvons changer nos croyances ; ce qui était vrai hier ne l’est peut-être plus aujourd’hui : exemple de l’évolution des connaissances concernant le fonctionnement du cerveau au fil des recherches. Avant, on pensait que le cerveau était figé à partir de l’âge de 25 ans ; aujourd’hui, on a prouvé que le cerveau dispose d’une énorme plasticité qui lui permet d’évoluer jusqu’à la mort ! Pour être bien, il faut émettre de bonnes vibrations. Donc pour être bien, je m’arrange pour que mon cerveau émette de bonnes vibrations en abolissant mes vieilles croyances et en me connectant à l’énergie universelle de par l’énergie quantique. En Reiki, plusieurs pratiques sont à disposition pour arriver à ce résultat. Il y a le Gashô ; c’est arriver à recentrer ses énergies. Il existe aussi dans le bouddhisme ainsi que dans la religion catholique. Le centrage du cœur permet aussi de recentrer ses énergies et d’être en amour avec soi-même ; à ce moment « je suis amour ». En Reiki, si j’ai mal quelque part, il suffit de regarder et de ressentir cet endroit et de lui envoyer de l’amour. Pour lui envoyer de l’amour ce n’est pas très compliqué ; il suffit que j’imagine quelque chose de beau comme un petit enfant (cf. notre enfant intérieur), un beau paysage qui me fait rêver, quelqu’un qui sourit… Dans ce système de fonctionnement, c’est ça émettre des vibrations positives. Si je suis Reiki, si j’émets ce genre de vibrations positives, des gens viendront vers moi. Attention, je propose des soins Reiki seulement aux personnes qui manifestent une demande envers moi. Je ne propose jamais de mon propre chef des soins à quelqu’un qui ne m’a rien demandé. Je prends soin de toujours répondre à une question que l’on me pose !
Je dois arrêter systématiquement de me focaliser sur mes manques (je n’ai pas ceci, je n’ai pas cela, je ne sais pas…, je n’aurais pas…). Je dois arrêter de juger (il est mieux que moi, il parle quand même bien, non il parle c’est tout !). Je dois arrêter d’attendre lorsque je fais quelque chose pour un résultat ; ça, c’est l’emprise de Satan, c’est l’emprise du mental. « Je fais cela pour obtenir quelque chose. Ah ça n’a pas marché, je suis nul ! Je suis nul parce que je n’ai pas réussi. ».
La question : « qui aimes-tu le plus au monde ? Qui dois-je aimer le plus au monde ? La réponse est simple. C’est moi-même. Alors, qu’est-ce qu’il faut faire ? La réponse est encore simple : « Y a qu’à ! Il faut oser ! ». Un des exercices qu’il est conseillé de faire c’est la méditation. Quand ? Une fois par jour pendant 5 minutes, au saut du lit par exemple. Ce n’est pas beaucoup 5 minutes ! Mais ça permet de faire un petit ancrage qui va me faire me sentir bien. Le matin c’est important, car sinon en se levant je pars dans un tourbillon de pensées : « il faut que je fasse cela, il faut que je fasse ceci, il faut que je téléphone à X, il faut que je nettoie… ». Si je démarre de cette manière, c’est que le mental a pris le dessus, et ce pour toute la journée. À ce moment-là je n’écoute plus rien et je suis seulement dans mes croyances. Si je prends l’habitude de m’ancrer (ne pas penser et respirer calmement) dès le matin, cet exercice n’est plus une obligation mais une hygiène de vie qui me permet de prendre conscience de ce qui me fait vivre : ma respiration. Je ne peux faire et je ne pourrai faire des choses durant la journée qu’en expirant. Je ne peux pas faire quelque chose en inspirant. Si je m’attache à une respiration calme et profonde, je vais systématiquement discipliner mes pensées. Après cette méditation, la 2e chose à faire régulièrement est de s’écouter. On ne s’écoute pas assez ou alors pas du tout. Quand le matin je me lève et que j’ai mal quelque part, je salue mon mal et je l’accepte en disant « j’ai mal ». Je regarde la douleur et je l’interroge. Quelle est cette douleur ? Où se situe-t-elle ? Est-elle aiguë ? Est-elle sourde ? Est-elle permanente ? Plus je prends conscience de ma douleur, plus je vais donner le message à mon cerveau. L’induction du cerveau sur la douleur, le fait que ça fasse mal, c’est psychosomatique. Ça ne veut pas dire que ça n’existe pas car c’est une réalité. Mais le cerveau lui ne sait pas car il envoie toujours le même processus car il a tellement l’habitude (comme un logiciel). C’est son système de fonctionnement, il est juste là pour s’occuper du corps et envoyer des messages d’alerte comme il l’a appris quand il avait 6 à 7 ans alimenté en plus par toutes mes croyances (« je crois que… j’ai toujours mal, que j’ai quelque chose au cœur, que je vais mourir »). Mais pour cela il faut justifier ces croyances et le cerveau ne le reçoit pas. C’est pourquoi il faut absolument s’écouter et accepter le fonctionnement du cerveau tel qu’il est expliqué ci-dessus. Je me mets alors en « amour ». Voici un artifice, une manière de faire pour se mettre en amour et qui fonctionne très bien pour de nombreuses personnes. C’est accepter que celui qui souffre est un petit garçon qui s’appelle « mon prénom ». « Mon prénom » je te prends dans mes bras et je te vois souffrir et je te dis maintenant : « Je sais que tu souffres, mais maintenant tu peux t’apaiser parce que moi je suis là ». Ça c’est mon être spirituel, ça veut dire que «  maintenant je suis ton papa, moi je suis là pour te protéger. Je vais m’occuper de toi ». En réalité, lorsque je parle ainsi, je me parle à moi-même. C’est une façon de faire dans l’imaginaire. C’est voir son « enfant intérieur ». Se mettre en amour c’est cela, c’est dire OK, je sais et je vais m’occuper de toi. C’est là que je vais m’apaiser et que les « bonnes » situations vont se mettre en place. Si je suis en Reiki (I) c’est facile à faire car j’imagine mon organe (mon estomac, mon foie, mes intestins, un genou…) qui a mal et je lui dis, « OK je suis là, je te vois, je ne sais pas pourquoi tu me fais souffrir comme ça, je ne sais pas pourquoi tu souffres mais bon, on verra bien ». L’important c’est de donner le message qu’il y a une codification mal faite au niveau du cerveau, que ça ne fonctionne pas comme ça devrait fonctionner. La plupart du temps, on fait un déni de ce qui nous arrive physiquement. Or, lorsqu’on a une douleur, ça fait partie de nous. La douleur fait partie de nous. Ce n’est pas quelque chose qui est à l’extérieur de nous ! Le mal qui vient de l’extérieur est une pensée très judéo-chrétienne, parce que « moi à l’intérieur je suis très bon » ! Il faut arriver tout simplement à vivre en amour. Vivre en amour ça veut dire être bien avec soi-même. Vivre en amour ça veut dire aussi accepter que parfois on est bête, con, inintéressant,…, mais on s’aime bien comme on est ! Vivre en amour ça veut dire aussi accepter que l’autre personne qui est en face de moi a une attitude stupide, mais bon, on l’aime bien comme elle est, tout de même. Ce n’est pas parce que quelqu’un a eu un épisode qui ne nous a pas plu qu’il faut le ranger dans une catégorie ! On a trop tendance à se focaliser sur les petits défauts (exemple de la petite rayure sur la voiture neuve !). En résumé, pour être en amour, j’accepte les choses telles qu’elles sont et je m’accepte moi-même tel que je suis maintenant. N’oublions pas que l’énergie quantique forme un maillage ; et si moi je suis mal, les gens autour de moi vont être mal aussi. Puis j’aurais tendance à attirer des gens qui vont mal. Bizarrement, si je vais très bien, les gens qui sont mal ne vont pas venir me casser les pieds ! Je n’oublie pas que pour être Reiki, il faut avoir l’intention d’être Reiki, il faut avoir l’intention d’aller chercher et de profiter de cette énergie universelle qui est à notre portée. Rien que penser Reiki, c’est être dans l’intention du Reiki.                                                                                         
Propos recueillis par Daniel

 


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Notre Ami Christophe nous a donné le présent texte qui est le fruit de sa réflexion sur le REIKI. Merci à toi  !

Reiki... c’est Moi, Toi, Nous...

Il m’est venu comme un cadeau, une fenêtre ouverte sur l’inconnu... Ma Vie!  Il m’a retrouvé... Je me suis retrouvé. Je revois les choses pour la première fois avec enthousiasme, plaisir, motivation et simplicité.

Je me retrouve sur cette route de la Vie où j’avance, j’apprends et prends le temps de regarder, de ressentir.

Enfermé dans des schémas égocentrés, des TOC existentiels futiles qui ne cessaient de drainer mon énergie - celle que Reiki m’offre maintenant en

abondance - je ne pouvais, ni ne voulais sortir de ces fardeaux quotidiens mais Ô combien rassurants.

Une Belle Âme au Cœur immense, mon Guide, mon Sauveur, celui qui avait la Clé, m’a permis d’en faire usage et de m’ouvrir sur un monde nouveau, celui que j’avais quitté.

Me voici donc à nouveau sur cette route de Vie et je compte y rester... Pas par sécurité, mais pour tout ce qui m’attend là, plus au loin... Car je sens que tout ira bien, sera bien... Mon Mieux.

Alors que je marche et avance, je vois d’autres bifurquer, des sourires se faner, des adieux s’exprimer qui fleurissent vers un Bon Jour Nouveau. Les nuages


passent et disparaissent. Le Soleil intérieur finit de soigner 
mon cœur blessé

alors que ma tête reste haute et mon sourire brille en permanence. Il reflète sur

Vous Tous qui résidez dans mon Cœur, dans mon Être: Père, Mère, Frères, Amis... Famille.

La route est longue et les expériences multiples. Les leçons s'apprennent avec cette agréable sensation de protection, cet écran de lumière, de chaleur autour de

Moi, en Moi, à travers Moi. J’agis, je n’en ai plus peur et surtout je n’attends pas l’approbation des autres. Je laisse raisonner mon Cœur. Il me fait vivre, il est Ma Vie.

Je laisse vibrer l’Énergie de Ma Vie, de l’Univers et la sens s’épanouir dans mes cinq Sens... Instinctivement, Naturellement.

Une merveilleuse aventure, un délicieux Rêve de Vie, une Vie rêvée, une Vie de Rêve(s).

C’est Moi, Toi, Nous... Reiki

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RÉFLEXIONS



Qu’est-ce que le Reiki ? (d’après Daniel pendant l’été 2014)

Je commencerai par une remarque.
          Au début, il y a 2 ans, je faisais du Reiki.
–          Ensuite, j’utilisais le Reiki, un peu comme si j’utilisais une « baguette magique ».
          Maintenant, j’ai tendance à être Reiki.

Reiki se compose du REI qui est l’énergie ou la conscience universelle et du KI qui est l’énergie ou la conscience personnelle.

À quoi ça sert d’être Reiki ?

Ça sert, d’une manière générale, à se sentir bien !

Quand être Reiki ?

L’idéal, et d’être Reiki 24 heures sur 24.

Le Reiki, pour qui ?

          Au premier degré pour soi principalement et pour les autres s’il y a une demande précise et explicite de leur part.

          Au 2e degré toujours pour soi principalement et pour les autres, s’il y a une demande précise et explicite de leur part.

        Quoique, je peux agir sans demande pour mes proches : conjoint, conjointe, parents, frères, sœurs, enfants, grands-parents.

        Au 2e degré, je peux agir à proximité ou à distance pour des problèmes passés – présents – futurs car le Reiki va au-delà de la dimension espace – temps.

Comment être Reiki ?

J’ai à ma disposition toute une panoplie de pratiques.

1) L’ancrage, le matin au réveil par exemple.

2) Le Gashô, à tout moment de la journée lorsque le besoin de revenir dans « l’ici et maintenant » se fait ressentir.

3) Les KOTODAMAS( les sons sacrés), à tout moment de la journée lorsque le besoin de revenir dans « l’ici et maintenant » se fait ressentir.

4) Le centrage du cœur avant un soin qui me permet de devenir amour.

5) La méditation lorsque j’en ressens le besoin.

6) L’auto-guérison : c’est un soin que je prodigue sur moi-même dès qu’apparaissent des signes de dysfonctionnements de mon corps ou de mon esprit.

7) Les soins que j’apporte aux autres. Lorsque j’aide quelqu’un, je m’apporte aussi de l’énergie.

8) Je me rappelle et j’ai conscience en permanence des 5 préceptes de Mikao USUI.

9) Je confie mes soucis à mes guides le soir avant de m’endormir sans savoir quand et comment ils vont se résoudre

Je reviens sur la question : à quoi sert le Reiki ?

Il sert à se sentir bien.

Qu’est-ce qui nous met mal ?

Nos trains de pensées, nos croyances c’est-à-dire notre mental !

Le mental nous entraîne inévitablement vers des épisodes tristes du passé ou dans un futur incertain et angoissant. Donc, pour être bien, il faut absolument revenir et rester dans le présent ; dans le présent rien de grave ne m’arrive.

Pour être dans le présent (qui est synonyme de cadeau au sens de « cadeau de la vie »), je dois rester dans l’amour.

Le Reiki est AMOUR.

A comme non et MOROS comme mort de l’esprit. L’amour, c’est la non mort de l’esprit. Le Reiki est une arme fantastique qui combat la non mort de mon esprit car il me garde éveillé dans le moment présent, ici et maintenant, là où il ne peut rien m’arriver de grave.

Pour rester ancré dans le moment présent, je suis bienveillant.

Je suis bienveillant en permanence, c’est-à-dire j’accepte sans jugement (sans me dire c’est bien ou c’est mal…) Que les choses arrivent comme elles arrivent même si c’est contraire à ce que j’avais prévu ! Pour être bienveillant, je respecte en permanence les 5 préceptes de Mikao USUI qui forment le pilier fondateur du Reiki. Je me répète le plus souvent possible :

          juste aujourd’hui et seulement aujourd’hui (cela me replonge automatiquement dans le moment présent).

          Je ne me mets pas en colère ou alors je la reconnais ! C’est regarder ses peurs en face sans jugement.

          Je ne me fais pas de souci ou alors je les reconnais !

          Je suis reconnaissant envers ce que je suis, ce que j’ai, ce que je fais et ce qui m’entoure !

          Je travail honnêtement. J’accepte que les choses changent en restant curieux, enseignable et en écoutant les autres qui détiennent souvent des réponses que je cherche ; encore faut-il écouter ces autres personnes !

          Je suis aimable avec moi-même, les autres et tout ce qui vit.

Comment savoir si l’on est Reiki ?

Comment j’ai appréhendé le Reiki personnellement il y a 2 ans ? J’ai ressenti et utilisé le Reiki comme un instrument extérieur à mon être, un peu comme un apprenti sorcier utiliserait une baguette magique. Je l’ai vu comme de la gratitude et j’ai voulu l’utiliser pour les autres avant de l’utiliser pour moi ; ça c’était mon ego qui me dirigeait ! De plus, j’étais dans l’attente de quelque chose, d’un résultat ; et bien évidemment l’attente déçoit toujours ! Derrière l’attente, se cache un jugement de valeur et alors adieu la bienveillance. Le Reiki m’a aidé à lâcher prise par rapport à des difficultés. Il m’a aidé lorsque j’étais perdu. Je me suis rendu compte après coup que j’utilisais le Reiki principalement en réaction à quelque chose ou à une situation problématique. Si je suis vraiment Reiki au sens premier et noble du terme, j’agis plutôt que de réagir, en toute impartialité, de manière inconditionnelle et de manière juste. Je n’attends pas que quelque chose me pose problème pour être Reiki. Le Reiki n’est pas un pansement ou un médicament qui doit conforter mon ego lorsque cela l’arrange. Si je suis juste et si je suis en amour, je suis Reiki. Si je suis Reiki, mon ego s’efface et disparaît derrière ma pleine conscience.

Pour finir et pour répondre à la question « Qu’est-ce que le Reiki ? », Je répondrai en disant que c’est un art de vivre. C’est un art de vivre qui permet d’accéder à la seule liberté que nous avons sur cette bonne vieille Terre. Cette liberté, c’est de maîtriser ses pensées et ses sentiments le plus souvent possible !

Être dans l’esprit Reiki :

« C’est apprendre à se concentrer en permanence pour rester dans le présent où rien de grave ne m’arrive. Rester dans le présent, c’est devenir le metteur en scène de sa propre vie où je peux agir en pleine conscience et oser faire sans jugement aucun, sans me prendre au sérieux en étant curieux de tout et en prenant la vie comme un jeu à la manière de l’enfant. C’est découvrir et réveiller l’enfant intérieur qui sommeille en moi. »





Atelier du 25 octobre 2014
Recueilli par Daniel
Atelier sur « l’énergie universelle ». Cet atelier permet d’avoir des possibilités de gérer des problèmes ou des situations d’ordre affectif (problème familial, problèmes d’argent, problèmes affectifs…). Comment se libérer de ses peurs ? Rappel des préceptes de Mikao USUI. Le Reiki, c’est uniquement penser pour soi. C’est quelque chose que l’on fait par rapport à soi-même. Si je suis bien avec moi-même, je serai bien avec les autres. Il faut bien comprendre, que l’espace-temps n’existe pas ; c’est une vision de l’esprit. C’est quelque chose qui est très difficile à accepter. L’espace-temps n’est qu’une virtualité. C’est une illusion. Le passé n’existe plus, et pourtant nous souffrons pour des choses qui sont passées. Le futur n’existe pas encore, et pourtant nous souffrons pour des choses qui ne sont pas encore arrivées. Ceci est dû au mental. Le mental est une grande puissance qui nous dirige de l’intérieur. Mikao USUI a toujours essayé de faire passer un message, c’est que le temps n’existe pas, nous sommes ici et maintenant, hors du temps et hors de l’espace. Être hors du temps et hors de l’espace, cela veut dire que nous ne sommes «  Amour ». Amour comme Amoros qui veut dire « la non mort de l’esprit ». Mon esprit c’est moi-même, c’est ma vie. Si je suis amoureux de quelqu’un ou d’une situation, il y a de fortes chances que je lui donne une partie de ma vie, c’est-à-dire la gestion d’une partie de ma vie. Autrement dit, c’est à cause de l’autre que je vais être malheureux. C’est à cause de l’autre que je ne vais pas obtenir ceci ou cela. Dans ce cas-là, je ne suis plus dans l’esprit de l’Amoros, je suis dans l’amour de dépendance. Je donne quelque chose mais j’attends quelque chose en retour. Alors si je n’ai rien en retour un vide s’installe. Ce vide nous avons appris, à partir de l’âge de 7 ans, à le créer. En effet, un enfant jusqu’à l’âge de 6 ans n’a pas de vide affectif. L’enfant de moins de 6 ans prend sans se poser de questions. Quand je suis vide, je suis vide d’affection, je suis vide d’amour car je ne m’aime pas. La première chose que je vais faire c’est demander à l’autre de m’aimer. J’ai peur de ne plus être reconnu ; cela se traduit souvent par des signes d’agressivité pour être remarqué donc d’une certaine manière pour être reconnu. Lorsque l’on est Reiki, il faut accepter que les choses existent seulement parce que je les regarde. Par exemple les autres existent seulement parce que je les regarde. Tout objet existe seulement parce qu’on le regarde. Donc quand je regarde quelqu’un avec amour, en réalité je me regarde. Lorsque je suis amoureux, je suis hors du temps et hors de l’espace. C’est dans ce genre d’état que je peux me retrouver en étant Reiki. Si je suis passionné, si je suis dans l’amour, le temps n’existe plus. Quand on est bien le temps se raccourcit, quand on est mal le temps se rallonge ! D’où la relativité du temps !
Si nous étions tous dans la bienveillance, nous n’aurions pas besoin de notre corps. On partirait. Le corps ne sert à rien. Dans l’Ancien Testament, il est bien indiqué, que la fin du monde sera effectivement quand il y aura 100 000 Justes. Finalement il ne faut pas beaucoup de personnes qui pensent bien, mais actuellement trop de monde pense mal, d’où les nombreuses guerres qui frappent dans le monde entier. Aujourd’hui on est dans le matériel, mais en allant à l’extrême nous n’avons plus besoin de notre corps. Le corps n’est qu’un habit de singe dans lequel on se trouve. C’est souvent difficile à accepter. On vient de nulle part et on va vers nulle part. Au début, un spermatozoïde rencontre un ovocyte. Tous les deux ne sont pas vivants mais contiennent la vie. À partir de cette confluence de vies apparaît une autre vie qui vient de rien, du mystère et de l’énergie. Ensuite, il n’y a rien à faire, tout se fait naturellement et mystérieusement sans que la mère intervienne. C’est le bébé qui prend sa place. La maman n’est que l’abri de ce mystère qu’est la maternité, et souvent elle subit sa grossesse. La vie vient de rien et part dans rien. C’est quoi ? C’est le Mystère. Accepter que la vie c’est un Mystère. Le reste n’a pas d’importance. Tout comme Dieu, c’est un Mystère.
Lorsqu’on est Reiki, il faut se laisser pénétrer par l’énergie universelle. Elle est donnée à tout le monde, ainsi qu’aux plantes, aux animaux et aux minéraux. Elle descend en permanence sur nous. C’est énergie est colossale, notamment à notre époque c’est-à-dire au XXIe siècle. On peut remarquer, que les enfants apprennent de plus en plus vite. Tout va beaucoup plus vite, depuis les 20 dernières années. Il y a une accélération. Toutes les pensées nous arrivent. Les pensées sont de la matière tout comme les photons de la lumière. La lumière se déplace à 330 000 km/s alors que les bio photons de la pensée se déplacent à 888 000 km/s. Au final, tout cela pour dire que si je suis connecté à l’énergie universelle, donc si je suis dans l’amour (Amoros), je peux communiquer avec les autres personnes connectées sans avoir besoin du langage parlé (cf ; histoire du sage indien se trouvant au bord du Gange qui observe deux personnes qui se disputent). Quand on est dans l’amour, quand on parle avec son cœur (avec passion), on parle à voix basse, on murmure, voir même on n’a plus besoin de parler car on est dans la complicité avec notre interlocuteur. Si je suis bien avec moi-même, tout va aller bien autour de moi. Si je suis passionné par ce que je fais, rien et personne ne me dérangent et tout se déroule à merveille. Le Reiki c’est ce qui me permet justement d’ouvrir les canaux pour être connecté à l’énergie universelle qui est là, partout à disposition pour tout le monde, encore faut-il la demander ! Cette énergie arrive seulement si je suis bien !
Méditation.
Ancrage. Inspiration par le nez et expiration par la bouche. À l’inspiration l’énergie descend sur le 7e chakra et à l’expiration cette énergie descend le long des bras des mains des jambes des pieds. Le temps d’expiration est plus long que le temps d’inspiration. Accepter les pensées qui viennent et les regarder en se fixant sur sa propre respiration. Je laisse partir mes pensées à l’expiration. Juste aujourd’hui, ceci est une invitation à ne plus nous préoccuper du passé ou de l’avenir. Je me centre par rapport à moi-même. Juste aujourd’hui je ne me mets pas en colère. Nos colères sont liées à nos peurs, à nos croyances, à ce que disent les autres. La colère n’est qu’une réaction en fonction de la vision qu’ont les autres du monde. Si je libère ma colère alors je libère ma relation conflictuelle avec les autres, aux autres et avec moi-même. Juste aujourd’hui je ne me mets pas en colère. Juste aujourd’hui je ne me fais pas de souci. Comme la colère, nos soucis ont un lien avec nos croyances et nos peurs. En travaillant avec le Reiki, nous comprenons qu’une intelligence universelle régit toute chose et est là pour nous guider si nous lui en faisons la demande. Juste aujourd’hui je ne me fais pas de souci. Juste aujourd’hui, je suis reconnaissant envers ce que j’ai et ce que je fais, envers mon environnement, envers moi-même et envers les autres. Vivre la reconnaissance c’est devenir un témoin positif de la vie. C’est retrouver la joie de vivre et savoir apprécier ce qui nous entoure ; c’est honorer le fait d’être en vie et développer sa capacité à aimer. Juste aujourd’hui je suis reconnaissant. Juste aujourd’hui, je travaille dur. Je travaille dur sur moi-même et je reste sur le chemin de la transformation. J’accède ainsi à l’amour de moi et j’y puise l’amour que je peux donner aux autres. Juste aujourd’hui je travaille dur et honnêtement sur moi-même. Juste aujourd’hui je suis aimable envers les autres. Je suis aimable envers moi-même et envers tout ce qui vit. Pour respecter les autres, je dois commencer par me respecter moi-même. Je rends grâce pour mes nombreuses bénédictions, j’honore mes parents, mes professeurs et mes aïeux. Juste aujourd’hui je suis aimable envers les autres et je dis merci.
Inspirer et expirer profondément. Puis revenir lentement à la conscience.
KOTODAMAS ou KODODAMAS.
Ce sont des sons sacrés. Ce serait l’empereur Meiji, contemporain
 de Mikao USUI, qui les aurait découvert. Dans toutes les anciennes populations, il y avait des sons (les bols tibétains, les cloches). Principe qui a été repris par le christianisme avec les cloches dans les églises. Il y a aussi des sons qui peuvent être produits par le corps humain. On dit que les KOTODAMAS ont plus de 50 000 ans. Ce sont des paroles sacrées. Ce sont des paroles sacrées, des mots sacrés, des sons sacrés ou spirituels. Lorsqu’ils sont prononcés ou chantés, ces sont sacrés créent des vibrations à l’intérieur du corps. « KOTODAMAS sont des sons sacrés ou des sons purs ou des sons spirituels ». Dans les KOTODAMAS, nous acceptons que les voyelles sont « mère » et que les consonnes sont « père » dans la façon d’exprimer les choses. Le « père » c’est la pensée, la « mère » c’est la terre. C’est l’idée de la fécondation de la pensée sur l’esprit. En prononçant les KOTODAMAS, faire en sorte que ces sons restent au milieu de la langue, comme si l’on a une boule à l’intérieur de la bouche. Imaginer une sphère qui flotte au niveau vibration juste au-dessus de la langue. Ce qui permet de ressentir la vibration dans la tête et ainsi dans tout le corps. En général, les résultats sont assez spectaculaires. Cette pratique permet instantanément d’être dans « l’ici et maintenant ». Je sais que le son est bien prononcé si je ressens la vibration dans la tête. Lorsque cette vibration s’étend ensuite sur l’ensemble du corps, alors je me sens bien (métaphore des 2 cordes de guitare : une corde qui vibre va faire vibrer une autre corde à proximité à la même fréquence). De la même manière, les vibrations de notre voix vont se communiquer à nos vibrations intérieures. Respecter les KOTODAMAS ne veut pas dire les réciter les uns après les autres. Il suffit d’en choisir un. Le but est d’arriver à être bien en le prononçant. Il n’y en a pas un qui est mieux que les autres ! Lors de leur prononciation, il faut bien prendre le temps de respirer sans précipitation. Ils se disent sur un ton.
Avant de faire un KOTODAMAS, il faut procéder à un nettoyage à sec (ou à l’eau) : cela signifie faire un KENYOKU.
Cette technique renforce la structure énergétique de celui qui la pratique.
Elle peut être utilisée avant de donner une séance de Reiki afin de préparer notre canal énergétique, et/ou pour clore celle-ci afin de mieux se déconnecter des énergies du receveur et se recentrer sur soi.
Il est aussi possible de l'utiliser à n'importe quel moment afin de se défaire d'une énergie disharmonieuse ou de se recentrer après une émotion perturbatrice ou une idée fixe perturbante.

Pratiquer le Gassho quelques secondes, mais jointes sur la poitrine.
Placer sa main droite dans le creux de l'épaule gauche puis descendre la main en diagonale jusqu'à la hanche droite en passant par le sternum.
Placer la main gauche dans le creux de l'épaule droite puis descendre la main en diagonale jusqu'à la hanche gauche en passant par le sternum.
Recommencer encore une fois avec la main droite.
Placer sa main droite sur l'épaule gauche puis descendre la main en suivant de la paume l'intérieur du bras gauche.
Placer sa main gauche sur l'épaule droite puis descendre la main en suivant de la paume l'intérieur du bras droit.
Recommencer encore une fois sur le bras gauche avec la main droite.
Terminer en pratiquant le Gassho quelques secondes.

Toujours avoir à l’esprit, lorsque l’on fait un KOTODAMAS, un GASHO, un KENYOKU, il faut le réaliser avec « l’intention » ; le Reiki ne doit pas devenir un dogme !
Après le nettoyage, se mettre en Gashô. Pratiquer une respiration ventrale. À l’inspiration, on gonfle le ventre et à l’expiration on fait le contraire. Imaginer que l’on prend toute cette énergie disponible en ayant le corps bien droit et soufflent légèrement au-dessus de ses mains jointes. Je me place dans l’ici et maintenant, en me fixant sur ma respiration, la position de mes mains et les zones de contact de mes doigts. Ensuite je prononce un KOTODAMAS.
1) HO A ZE HO NE (ho a zé ho né). Je le prononce seulement lors de chaque expiration. Après un moment, je prononce mon KOTODAMAS de manière mentale en respectant toujours la respiration ventrale. Au début, commencer par la prononciation mentale, et ensuite lorsque l’on est dans le ressenti passer à la prononciation vocale. Le KOTODAMAS sert à se mettre dans l’ici et maintenant de manière rapide et radicale. Avec de la pratique, je peux réciter mes KOTODAMAS de manière mentale, même dans des endroits bruyants et fréquentés (voiture, bus, métro, réunion,…).
2) EI EI KI ( eil   eil   gui )
3) HO KU EI ( ho  kou  eil )
La découverte de l’enfant intérieur.
La plupart du temps nous avons peur de nous- même. Une moitié de nous- même nous fait peur parce qu’elle ne correspond pas à nos attentes. Nous attentes sont données en fonction de notre éducation (on ne mange pas la bouche pleine, on ne coupe pas la parole à quelqu’un…). Notre enfant intérieur, lui, veut être bien. On ne veut pas que notre entourage ne nous comprenne pas, ne nous entende pas. Nous sommes soumis à des règles sociétales. Tout ceci fait que nous sommes toujours tournés vers le regard des autres. Cette personne nous fait peur car c’est un être unique ; elle a sa spécificité. Notre enfant intérieur vit dans «  l’insouciance curieuse ». Il s’intéresse à tout et prend la vie comme un jeu.
Le cerveau reçoit des informations de toutes parts (l’odorat, le goût, la vue, le toucher, l’ouïe) en permanence. L’ego (le mental) va aussi influencer le cerveau (moi je, il faut que je fasse cela, je dois…). À force, on entend plus les « bruit du corps » (douleurs, éruptions, bobos…). Le cerveau ne peut pas les enregistrer. Dans la journée, mon corps se détruit car de nombreuses informations n’ont pas pu être traitées. Plutôt que d’accepter la douleur j’essaye de l’effacer, de la faire disparaître alors quelle est là pour me donner un signal. Il faut éviter de penser qu’une douleur n’est pas bien ; elle est juste un signal qu’il faut accepter et traiter (parabole du pompier qui vous signale un danger).
L’Amoros c’est la paix, la bienveillance, le lâcher prise, le « c’est ». C’est cette énergie guérisseuse. C’est l’énergie universelle. Pratiquement pour traiter un problème physique ou psychique, je vais utiliser cette énergie guérisseuse. Je m’assois sur une chaise.
1) Je me fixe mon attention en focalisant sur ce que j’ai. On peut commencer pour se centrer par un KOTODAMAS. Je fixe mon attention sans attente (lâcher prise) et sans jugement.
2) Observer sans juger ma souffrance et cerner le problème.
3) Accepter le mal comme un messager ; ne pas juger cette migraine par exemple.
4) C’est l’énergie de l’amour qui va dissoudre le mal.
5) Dire merci.
Attention.
Quand quelque chose m’arrive, dire merci ; être bienveillant. Cela va calmer déjà le mental. Il faut être dans l’acceptation (Merci pour ce qui m’arrive, quelle chance que cela m’arrive…). Pour respecter son corps s’accorder un temps de convalescence, ce n’est pas pour rien que le corps nous envoie des signaux !

Propos recueillis par Daniel





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